Vincent Genvrin et l’art de la transcription
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L’Opéra national des Pays-Bas (De Nationale Opera) ouvre sa saison avec La Forza del Destino de Giuseppe Verdi, mis en scène par Christof Loy. Lauréat metteur en scène de l’année 2017 aux prestigieux International Opera Awards, il est à sa quatrième collaboration avec la maison, après avoir travaillé sur Les vêpres siciliennes, Arabella et Khovanshchina.
La forza del destino au Dutch National Opera & Ballet © DR
Que nous aura-t-il concocté le metteur en scène allemand, adepte du minimalisme et de la déconstruction, pour montrer le moteur implacable du destin qui régit toute l’histoire ?
Quelles solutions aura-t’il imaginé pour faire face à la complexité de cet opéra, qui manque d’unité de lieu et de temps ?
Quelle version de l’opéra de Verdi aura été choisie pour ce début de saison ? La version blasphème de Saint Peterbourg (où elle fut présentée pour la première fois en 1862), où Alvaro se suicide en maudissant Dieu et la race humaine, ou celle à vocation moralisatrice donnée à la Scala de Milan en 1869, où le protagoniste sera condamné à vivre, dans le désespoir le plus total, pendant que Leonora l’attendra au paradis ?
Pour le découvrir il faudra franchir le seul de l’opéra d’Amsterdam, étonnant bâtiment circulaire qui se dresse illuminé face à l’Amstel.
On y retrouvera sur scène la soprano néerlandaise Eva-Marie Westbroek (Leonora) — après avoir été Marie dans Wozzeck et Manon dans l’opéra homonyme, Roberto Aronica (Don Alvaro), Franco Vassallo (Don Carlos de Vargas), Veronica Simeoni (la gitane Preziosilla), et dans la fosse l’orchestre philharmonique des Pays-Bas (Nederlands Philharmonisch Orkest) dirigé par l’italien Michele Mariotti.
La forza del destino au Dutch National Opera & Ballet © DR
Les artistes nous accompagneront dans un intrigue se compliquant au fur et à mesure, par simple casualité ou à cause de mauvais choix dictés par les conventions sociales ou par la culpabilité.
Dans un parallèle Manzonien très poussé (Verdi admirait tellement l’auteur de I promessi sposi, qu’il composa son célèbre Requiem en son honneur), nous découvrirons un amour interdit, une soif de vengeance tant inexorable que dénuée de sens, et une quête de spiritualité et de rédemption contrastante avec la platitude et la mesquinerie humaine.
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